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MUYAYALO GIRESSE  
 
 
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LA RUBRIQUE DE BELLES PAROLES

AU-DELA DES LIMITES. 
Lorsque l’une des portes du bonheur se referme, une autre s’ouvre ; mais souvent nous regardons si longtemps la porte fermée que nous ne voyons pas celle qui nous a été ouverte. 
Helen Adams Keller (1880-1968)
 
 
 
Sourire, c'est prendre le risque de paraître ridicule 
Pleurer, c'est prendre le rique de paraître sentimental 
Tendre la main vers l'autre c'est prendre le risque de s'impliquer 
Faire voir ses sentiments, c'est prendre le risque de montrer son véritable soi 
Étaler ses idées, ses rêves devant la foule, c'est risquer de les perdre 
Aimer, c'est risquer de ne pas être aimée en retour 
Vivre, c'est risquer le désespoir 
Essayer, c'est risquer la faillite 
 
Mais les risques doivent être courus, parce que le plus grand hasard dans la vie, c'est de ne rien risquer. 
 
La personne qui ne risque rien, ne fait rien, n'a rien, n'est rien. 
 
Quelqu'un peut éviter la souffrance et le chagrin, mais ne peut alors apprendre à ressentir, à changer, à grandir, à aimer, à vivre. 
 
Enchaîné par les certitudes, 
l'humain est un esclave, 
qui a renoncé à la liberté. 
 
Seulement l'humain qui risque est vraiment libre ! 
 
Vivre la liberté! 
 
LES VRAIS AMIS 
 
C'est l'histoire de deux amis qui marchaient dans le désert. À un moment, ils se disputèrent et l'un des deux donna une gifle à l'autre. Ce dernier, endolori mais sans rien dire, écrivit dans le sable : «Aujourd'hui mon meilleur ami m'a donné une gifle». 
 
Ils continuèrent à marché puis trouvèrent un oasis, dans lequel ils décidèrent de se baigner. Mais celui qui avait été gifle manqua de se noyer et son ami le sauva. Quand il se fut repris, il grâva sur une pierre : «Aujourd'hui mon meilleur ami m'a sauvé la vie». 
 
Celui qui avait donné la gifle et avait sauvé son ami lui demanda : Quand je t'ai blessé, tu as écrit sur le sable, et maintenant tu as écrit sur la pierre. Pourquoi ? 
 
L'autre ami répondit: «Quand quelqu'un nous blesse, nous devons l'écrire dans le sable ou les vents du pardon peuvent l'effacer. Mais quand quelqu'un fait quelque chose de bien pour nous, nous devons le graver dans la pierre ou aucun vent ne peut l'effacer». 
 
AVEC LE TEMPS... 
 
...on en vient à connaître la différence 
entre tenir la main d'un ami 
et enchaîner celui-ci. 
 
...on en vient à comprendre que l'amour 
ne consiste pas à s'appuyer sur quelqu'un, 
mais à apporter du soutien à cette personne. 
 
...on en vient à accepter ses défaites 
avec la dignité d'un adulte 
et non plus avec la détresse d'un enfant. 
 
...on en vient à construire sa vie un jour 
à la fois, en sachant que rien ni personne 
ne peut nous assurer des lendemains heureux. 
 
...on en vient à semer des graines dans un jardin 
plutôt que d'attendre de recevoir des fleurs. 
 
...on en vient à réaliser que l'endurance acquise 
est attribuable à une force supérieure. 

(c) Liévin MUYAYALO GIRESSE - Créé à l'aide de Populus.
Modifié en dernier lieu le 9.07.2009
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